Circulaire parle de la ville à l’image d’un être vivant.
Un organisme avec des réseaux, avec de fonctions, en mouvement perpétuel.
Paris est à la base de cette réflexion que à inspiré Andrea PINEROS dès son arrivée dans cette ville.
La relation entre le centre et ses périphéries, entre le rythme du jour et de la nuit et ses habitants dans leur quotidien
l’amènent à réfléchir sur sa position en tant qu’individu et sa fonction dans une société.
« La ville, je l’observe et j’en fais partie.
Je suis la masse, mais je continue à me sentir unique,
Je ne suis pas seule mais je suis seule mon chemin,
Circulaire circule comme le sang dans le corps,
Le corps d’une ville.
Et moi dans ce corps. »